mercredi 8 décembre 2010

Le Monde de Narnia 3: L'Odyssée du Passeur d'Aurore




C'est bientôt Noël , et nous recevons aujourd'hui un cadeau un peu en avance avec la sortie du 3ème volet de la saga de Narnia, inspirée par l'oeuvre de C.S. Lewis.


Utilisant la 3-D, L'Odyssée du Passeur d'Aurore nous permet de retrouver Edmund et Lucy Pevensie et leur insupportable cousin Eustache dans un épopée qui va les mener jusqu'à la frontière des mers. On revoir aussi le Prince Caspian (qui avait donné le titre au deuxième film de la série), parti à la recherche des compagnons de son père. La bande des quatre sera confrontée à des pièges, des énigmes et des obstacles redoutables. Quant à Ripitchip, la vaillante souris, elle ne rêve que d'atteindre le pays d'Aslan. Y parviendront-ils tous?


Ce film s'adresse surtout aux pré-ados, mais sa facture très soignée et son côté magique permettront aussi aux plus grands de passer un très bon moment. Précisons aussi qu'un effort a été fait pour préserver la dimension spirituelle du livre de C.S. Lewis. Celui était en effet un chrétien fervent, qui a voulu faire du lion Aslan une image de Christ transposée dans un monde de féerie. Cela a manifestement gêné une partie de la critique parisienne, et on pourrait presque dire que c'est bon signe...


Puisque le service public de l'audiovisuel français semble une fois de plus décidé à passer sous silence l'aspect chrétien de Noël, ne boudons pas notre plaisir et emmenons nos plus jeunes voir L'Odyssée du Passeur d'Aurore et offrons-leur Les Chroniques de Narnia au pied du sapin.! Et si la ré-évangélisation de l'Europe passait par le ré-enchantment du monde?

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Découvrir autant de culture, voire d'érudition, en un petit blog d'un bled perdu d'une province anonyme, démontre que l'Église est partout source de beauté, selon l'adage: "gratia non tollit naturam sed perficit", la grâce n'abolit pas la nature mais l'élève. Bravo pour ce défi d'illustrer la permanence du lien culte/culture, malgré les prétentions controuvées d'un certain monde parisien, qui est plutôt le "glory hole" que la gloire authentique de la civilisation française!...