mardi 24 février 2015


Ce soir à Melle, étude biblique sur la fin des "paraboles des choses perdues" (Luc 15). 

Cordiale invitation à tous!

lundi 23 février 2015

Assemblée générale 2015

Notre Assemblée Générale annuelle aura lieu le 1er mars 2015 à 10h30 au temple luthérien de Prailles.

Cette AG sera suivie d'un repas tiré des sacs à la petite salle de La Couarde.


L'ordre du jour est le suivant:

  • approbation du rapport moral
  • approbation du rapport financier
  • renouvellement du conseil presbytéral
  • questions diverses

 

samedi 21 février 2015

Dimanche 22 février 2015


Voici, oh! qu'il est agréable, qu'il est doux Pour des frères de demeurer ensemble!
 

Dimanche 22 février, T. Constantini apportera la prédication lors du culte de l'Eglise Protestante Baptiste du Mellois

Cordiale invitation à tous!


dimanche 15 février 2015

MARC 2.2-9

2 Six jours après, Jésus prend avec lui Pierre, Jacques et Jean, et il les conduit seuls à l’écart, sur une haute montagne. Il fut transfiguré devant eux :
3 ses vêtements devinrent resplendissants, d’une blancheur telle qu’il n’est pas de teinturier sur terre qui puisse blanchir ainsi.
4 Elie avec Moïse leur apparurent ; ils s’entretenaient avec Jésus.
5 Pierre dit à Jésus : Rabbi, il est bon que nous soyons ici ; dressons trois tentes, une pour toi, une pour Moïse et une pour Elie.
6 Il ne savait que dire, car la peur les avait saisis.
7 Survint une nuée qui les couvrit de son ombre, et de la nuée survint une voix : Celui–ci est mon Fils bien–aimé. Ecoutez–le !
8 Aussitôt ils regardèrent autour d’eux, mais ils ne virent plus personne que Jésus, seul avec eux.
9 Comme ils descendaient de la montagne, il leur recommanda de ne raconter à personne ce qu’ils avaient vu jusqu’à ce que le Fils de l’homme se soit relevé d’entre les morts.


Chers frères et sœurs,
Un des grands principes de la pédagogie, c'est la répétition.

Dans le domaine de l'apprentissage ou de l'acquisition d'un savoir, une seule fois ne suffit pas. Il faut revenir sur certaines choses pour bien les assimiler, même (surtout?) les plus basiques.

Jésus le sait. La Transfiguration est un rappel (à ses plus proches compagnons, mais aussi à nous) de choses que nous avons déjà. Jésus est à la fois Dieu et homme. L'Agneau immolé dans son amour et sa compassion est aussi le Lion de Juda au pouvoir fantastique devant qui tout genou fléchira.

Pierre savait que, comme nous le dirions aujourd'hui, Jésus avait deux natures. Pierre connaissait l'homme Jésus, et pourtant il l'avait bien vu accomplir de grands miracles. Quand Jésus a demandé a ses disciples "et vous qui dites vous que je suis", Pierre a pu répondre "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant". Et pourtant, alors que Jésus va commencer à préparer ses compagnons à sa crucifixion, il sait que Pierre a besoin d'une piqure de rappel. Les amis de Jésus vont bientôt être témoins de scènes qui pourraient ébranler leur foi, leur faire dire que Jésus n'était après tout qu'un simple humain qui a été livré, mis à mort et enterré.

Alors Jésus emmène les plus proches de ses disciples sur une montagne. Et c'est là que le Père répète les paroles qu'il a prononcées lors du baptême de Jésus "Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le". Ici, Dieu rappelle à Pierre, Jacques et Jean la nature divine de Christ "Dieu de Dieu, lumière de lumière, vrai Dieu du vrai Dieu, engendré et non crée, d'une même substance avec le Père". Jésus est celui qui vient accomplir la Loi et les Prophètes, et c'est pour cela qu'il parle face à face avec Moïse et Elie.
Alors arrive à notre trio ce qui arrive souvent dans la Bible à ceux qui ont conscience, alors qu'ils ne sont que des hommes mortels et pécheurs, de se retrouver en face du Dieu très Saint: ils sont saisis par l'effroi (v.6).

Et à ce moment là, Pierre, Jacques et Jean ont besoin d'un autre rappel: celui de la grâce de Dieu, de la grâce de Dieu qui s'est fait homme pour devenir notre Rédempteur. Dans son récit de la Transfiguration, Matthieu nous "Jésus s'approcha en les touchant, il dit 'n'ayez pas peur'. Or, se levant, ils ne virent personne, sinon lui, Jésus, seul". (Mt 17.7-8).

Les disciples avaient donc besoin de ce rappel. C'est aussi vrai pour nous, à cause de notre vision qui peut devenir floue ou mal orientée. Le mal nous assaille, le monde nous met sous pression, notre chair nous tente, les déceptions et les épreuves de la vie nous mettent à bas. Dans ces cas-là, notre foi peut être rendue chancelante par ce que notre raison et nos sens perçoivent de notre situation. Peu à peu, nous nous éloignons de Dieu. Notre vie de prière devient fade. Nous ne nous plaçons plus à l'écoute de la Parole du Seigneur. Les forces hostiles au christianisme authentique, si nombreuses dans notre pauvre société, nous font taire. Nous vivons dans un monde agité, ennemi de Christ, et tous les jours, nous sommes pressurés pour détourner nos regards de Christ.

Frères et sœurs, à chaque fois que nous cessons de fixer notre Sauveur, nous tombons dans le péché et la défaite spirituelle. C'est ce qui est arrivé à Adam et Eve, c'est ce qui est arrivé à Moïse et qui l'a empêché d'entrer dans le Pays Promis, c'est ce qui arrivait aux Pharisiens si fiers d'eux-mêmes, c'est ce qui est arrivé aux disciples du Seigneur qui se sont plus souciés de leur sécurité que du Seigneur quand il a été arrêté.

Quand nous détournons nos regards de Christ, il faut les fixer sur autre chose, la nature a erreur du vide. Certains vont alors faire de la vie chrétienne un ensemble de règles, un légalisme étouffant auquel il faut se soumettre si l'on veut montrer qu'on est un vrai chrétien. D'autres vont déclarer que l'Evangile, c'est telle ou telle cause politique (y compris si cette cause est contraire aux valeurs bibliques): et là aussi, vous êtes sensés suivre le mouvement si vous voulez être considéré comme authentiquement croyant! Oui, si nous ne fixons plus Jésus, nous allons regarder vers nos œuvres et placer notre foi en nos efforts et la pauvre sanctification que nous croyons atteindre. Et si ça n'est pas dans nos œuvres, cela va être dans notre doctrine, notre liturgie ou dans le fait (certes suffisamment rare pour être noté) que nous appartenons à une Eglise où la Parole de Dieu est honorée, etc, etc…

Mais Dieu connaît notre faiblesse. Il sait que nous avons la mémoire courte. Il nous ramène à Jésus, il nous rappelle tout ce qu'il a accompli pour nous et qui est la seule et unique source de notre salut, le seul lieu où nous pouvons enfin trouver le repos. Dieu nous le rappelle dans sa Parole, entendue ou lue. Il nous le rappelle quand nous recevons d'un cœur croyant les paroles d'absolution. IL nous la rappelle lorsque nous nous souvenons de l'alliance qu'il a conclue avec nous lors de notre baptême. Il nous le rappelle lorsque nous nous approchons du Corps et du Sang du Seigneur et que nous entendons ces mots "livré pour vous" et "versé pour vous".

Alors, frères et sœurs, à chaque fois que nous sommes tentés de ne plus regarder à Jésus mais de fixer nous-mêmes, nos œuvres, notre théologie, notre appartenance à l'Eglise, entendons l'appel et le rappel de Dieu. Revenons vers Jésus, et vers Jésus seul. Tournons nos regards vers celui qui nous dit "levez-vous, n'ayez pas peur".

vendredi 13 février 2015

Dimanche 15 février 2015



Dimanche 15 février, culte à 10h30 au temple de Prailles

Cordiale invitation à tous!

mardi 10 février 2015

Etude Biblique Melle

Mardi 10 étude biblique à 20h15 à Melle 

Les paraboles des choses perdues: Luc 15:1-32 (2ème partie)

Cordiale invitation à tous!

dimanche 8 février 2015

ESAIE 40.31

Ceux qui comptent sur l'Eternel renouvellent leur force. Ils prennent leur envol comme les aigles. Ils courent sans s'épuiser, ils marchent sans se fatiguer.
Est-ce que vous vous êtes déjà demandé ce que ça fait de voler? Pas voler dans un avion, ou avec un deltaplane, pouvoir voler comme un oiseau ou comme Superman. Pouvoir survoler les forêtes et les villes, les rivières et les collines, s'élever au dessus des montagnes...


Durant des millénaires, les hommes ont observé les oiseaux et ont eu envie de voler. Bien sûr, nous y sommes arrivés... d'une certaine façon: il faut des avions ou des engins apparentés. Et même le parachutiste libre dans les airs sait qu'il devra à un moment tirer la corde de son parachute... C'est que la loi de la gravité est toujours là, et qu'elle nous rappelle que nous autres humains ne sommes pas fait pour voler.


Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais ce sont surtout les enfants qui ont cette idée de pouvoir voler. Les adultes, moins... c'est vrai que les adultes ont étudié la loi de la gravité au collège... et c'est vrai qu'en plus de savoir que nous ne sommes pas fait pour voler, les adultes portent en plus pas mal de poids. Pas tant le poids de la balance, non, mais celui des soucis, des factures à payer, du patron qui en est un vrai, du couple qui s'étiole... Oui, tout cela nous met du poids sur les épaules.
Alors bien sûr, quand on doite faire face à tout ça et au reste, on ne révasse plus!! Plus le termps! La vie est trop sérieuse, trop lourde pour penser à de telles fariboles. Voler!! Mais c'est bon pour les enfants, mais ils n'ont pas à se soucier de certaines choses, mais nous nous devons faire face à la vrai vie. Et, comme la loi de la gravité, nul ne peut échapper à ses effets.
Pourtant, que nous dit notre texte d'Esaïe “Ceux qui comptent sur l'Eternel renouvellent leur force. Ils prennent leur envol comme les aigles. Ils courent sans s'épuiser, ils marchent sans se fatiguer.”
Hummm... Ils prennent leur envol comme les aigles. Prendre son envol... et attention; comme un aigle: un des plus majestueux des oiseaux...
Du coup, j'ai un peu été renvoyé à mes rêves d'enfants. Pouvoir voler, contempler tout de haut, faire des ronds dans le ciel. Alors, y a t'il un moyen de vaincre cette gravité qui pèse sur nos vies, d'en alléger la lourdeur, un moyns de s'élever haut au dessus de tout ça? Ou n'y a t'il là qu'un rêve à ranger au même rayon que les contes pour enfants, à côté des dragons, des sorcières et des lutins...


Il faut remettre cette phrase qui parle de voler comme des aigles dasn son contexte. Esaïe s'adresse au peuple d'Israël durant un temps d'épreuve, alors qu'ils se sentaient sans force et sans espérance. Beaucoup d'entre nous sont inquiets, mais les israelites avaient encore plus de raison de l'être. Les redoutables Assyriens les menaçaient, puis ce seraient les Babyloniens qui allaient envahir le pays et emmener le peuple en exil. Et, bien sûr, en pensant à la situation dans laquelle ils se trouvaient, leurs coeurs étaient lourds et ils se sentaient complètement dépassés par la gravité de la situation.
Le peuple avait donc commencé à penser “Dieu ne s'intéresse pas à nous! Regardez la situation où nous sommes, les problèmes auquel nous devons faire face, et il ne fait rien!!”


Est-ce que nous nous rendons compte de ce qui s'est passé ici? Pour faire simple, disons que le peuple est tombé dans un piège classique mais dangereux: penser que nos problèmes sont plus grands que Dieu. En clair, le peuple avait oublié la puissance du Seigneur, avait oublié son amour pour son peuple et son désir inlassable de l'aider dans toutes ses épreuves et ses soucis...
Ce qui s'était passé, c'est un glissement qui hélas arrive encore trop souvent dans nos vies. C'est ce que j'appelle le syndrome du DTTM: débrouille toi toi-même. Il est très facile d'être atteint de ce symptome et d'exclure Dieu de pans entiers de nos vies. Il est possible, même si nous nous disons chrétiens, de considérer nos vies comme des athées...
Mon boulot? Non, ça c'est mon problème. Finances? Je m'en occupe? Mon couple? C'est moi qui gère? Ma santé? J'ai un bon docteur, merci”. En clair, nous avons un Dieu que nous avons gentimment placé dans la gentille petite boite de la religiosité du dimanche matin de 10h30 à 11h30, mais nous vivons comme s'il était incapable de nous aider dans nos défis du quotidien. Nous nous débrouillons nous-mêmes.
Le problème, c'est que ça ne va durer qu'un temps, et que nous allons bientôt fléchir. Le poids sur nos épaules devient trop lourd. La pression augemente. Les soucis restent obsédants. La joie s'en va, et souvent arrive une dépression qui ne dit pas son nom.


Je suis sûr que nous sommes nombreux à devoir reconnaître (et moi le premier) que nous sombrons souvent dans cette attitude. Encore une fois, nous nous conduisons comme si Dieu n'existait pas, comme si sa puissance et son amour ne pouvaient pas vraiment toucher nos vies et y apporter l'onction de sa guérison. Dans les faits, nous nous conduisons comme si nous pouvions ya rriver tout seul. Mais ce n'est pas le plan de Dieu. Dieu n'a jamais voulu que nous fassions face tout seuls à tout ce qui peut menacer notre bonheur et notre sécurité.


Et c'est là qu'arrive Esaïe avec ce merveilleux passage que nous avons lu. En clair, le prophète demande “ mais comment est-ce que vous pouvez être aussi bêtes? Est-ce que vous ne savez pas qui a créé les cieux et la terre? Est-ce que vous ne savez pas que c'est Dieu qui a créé les étoiles? Il y en a des millions, et pourtant Dieu sait quand l'une manque. Et si Dieu connaît chacune des millions d'étoiles, cela veut dire qu'il connaît chacun d'entre nous personnelement, et qu'il nous appelle par notre nom.
Personne ne peut accuser Dieu de ne pas s'occuper de lui.
Puis viennent encore ces mots:
28 Ne le sais-tu pas? Ne l'as-tu pas appris? C'est le Dieu d'éternité, l'Eternel, qui a créé les extrémités de la terre. Il ne se fatigue pas, il ne s'épuise pas. Son intelligence est impénétrable.29 Il donne de la force à celui qui est fatigué et il multiplie les ressources de celui qui est à bout.
30 Les adolescents se fatiguent et s'épuisent, les jeunes gens se mettent à trébucher,31 mais ceux qui comptent sur l'Eternel renouvellent leur force. Ils prennent leur envol comme les aigles. Ils courent sans s'épuiser, ils marchent sans se fatiguer. (Es 40.28-31)


Je ne sais pas si vous vous en êtes rendu compte, mais Jésus nous a adressé exactement le même message “venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai le repos” ou “Ne vend-on pas deux moineaux pour une petite pièce? Cependant, pas un ne tombe par terre sans l'accord de votre Père.Même vos cheveux sont tous comptés. N'ayez donc pas peur: vous valez plus que beaucoup de moineaux. » ou encore
Jésus nous assure qu'il n'y a pas un instant où nous échappons à sa protection et à son amour. Cela ne veut pas dire hélas, qu'il n'y aura pas des moments où nous allons lui fermer une partie de nos vies. Cela ne veut hélas pas dire que, dans notre folie, nous n'allons nous condamner à une situation misérable en essayant de nous en sortir nous-mêmes, en comptant sur notre sagesse ou nos moyens plutôt qu'en allant vers celui qui est toujours là pour renouveler notre force, nous guider par son Esprit, pour nous donner une vision nouvelle.
Même l'apôtre Paul est passé par là je crois. Je pense que Paul savait parfaitement qu'il devait et pouvait faire confiance à Dieu mais sans doute que la tentation de l'abandon a dûr parfois le toucher. Le travail de Paul pour le Seigneur était parfois terriblement difficile, et il a dû se sentir parfois épuisé, vidé, sans savoir ce qu'il allait devenir. Mais à chaque fois, Paul est revenu à la vérité “Dieu peut m'élever au dessus de tout ça, son amour est tellement puissant que je peux me confier en lui sans crainte, quelque soient les circonstances. Il me donnera la force pour continuer ou pour aller vers de nouveaux départs”. En conclusion, Paul dit “Je peux tout par celui qui me fortifie » (Philippiens 4.13). Bien sûr, il est vital de noter qu'il s'agit aussi d'une force qui n'est pas là pour satisfaire nos petites envies, mais qui va nous amener à servir le Seigneur, comme la belle-mère de Pierre: quand le Seigneur nous donne sa force, c'est pour le servir, pas pour nous servir et satisfaire nos caprices.

Comme Esaïe le dit “Ceux qui comptent sur l'Eternel renouvellent leur force. Ils prennent leur envol comme les aigles. Ils courent sans s'épuiser, ils marchent sans se fatiguer.”
Bien sûr, il est vital de noter qu'il s'agit aussi d'une force qui n'est pas là pour satisfaire nos petites envies, mais qui va nous amener à servir le Seigneur


En clair, si nous nous confions vraiment, en Jésus, si nous cessons de limiter sa puissance, il nous donnera une force qui dépasse de loin nos propres forces et qui nous élévera au dessus de nos problèmes. Dieu ne veut pas que nous soyons la volaille déprimée d'une basse-cour de misère. Il veut que nous soyons comme des aigles: volant haut, avec force et majesté, des disciples passionnés par la gloire de l'Eternel.


La clé de tout cela, c'est d'arrêter de limiter la puissance et l'amour que Dieu peut et veut déverser sur nos vies. C'est de croire que Dieu peut et veut agir dans nos problèmes et nous faire prendre vraiment notre envol. Quand nous pensons à son amour, manifesté à la Croix, quand nous pensons à l'immense étendue de sa toute-puissance, nous pouvons être assurés qu'aucun de nos problèmes ne sera jamais plus grand que Dieu. C'est en nous élevant comme des aigles que nous pourrons avoir la vision juste sur notre vie: la vision de Dieu.
Peut-être que tous ces rêves d'enfants sur le fait de pouvoir voler, comme dans Peter Pan, n'étaient pas si loin de la réalité après tout. Nous pouvons voler comme des aigles, même en gardant les pieds au sol. Nous pouvons nous élever au dessus de tout ce qui menace notre sécutité avec une force qui vient du Seigneur Ceux qui comptent sur l'Eternel renouvellent leur force. Ils prennent leur envol comme les aigles. Ils courent sans s'épuiser, ils marchent sans se fatiguer.